Profil du membre : skulldog

Ville : Manosque

Département : Alpes de Haute Provence

Date de Naissance : 22/05/1989

Occupation : Etudiant en école de commerce à Marseille

Interet : Foot, Jeux en réseau, Animation...

Biographie : Je hante le TQSAR depuis que j'ai arrêté Magic.

Si vous lisez ceci, vous êtes:
— Tombé par hasard sur ma page
— Quelqu'un dont ma signature/mon avatar/un de mes posts vous a intrigué
— Un de mes ( nombreux ) fans
— En train de vous faire chier
— En train de me rajouter dans votre liste d'ami
— Quelqu'un qui a envie de m'envoyer un MP
— Quelqu'un qui a fait une fausse manip'

Si ça vous intéresse, voici mon interview.

Mon plus beau post, encensé par la critique:

Le 19/09/2008, skulldog avait écrit dans le topic de la convivialité: V74

Aujourd'hui je voudrais vous parler de l'instinct de survie.

En effet j'ai été victime, ou plutôt acteur de ce réflexe primitif mais ô combien bienveillant. Vous allez me demandez sûrement comment ça se fait que j'ai pu tester cette chose dans notre société aux angles arrondis, là où rien ne blesse et tout est lisse. Non monsieur je n'ai été pas dans quelques cours d'eaux amazoniens à la lutte avec ces bouffeurs en écailles que l'on prénomment piranhas. Non madame je n'étais pas au Moyen Orient face à quelques barbus armés jusqu'aux dents. Hier soir j'étais chez moi, et j'ai pu admirer toute la magnificence de l'instinct de survie.

Rappelons les faits voulez vous: seul chez moi, pas d'entité supérieure maternelle à l'horizon avant dimanche, je propose à quelques amis de passer ( Kami pourra confirmer ), tout commence vers 17h30. On commence gentiment par une contrée, mais au fur et à mesure que les secondes s'égrènent, que les verres de whisky se vident est que les joints se consument, deux évidences s'offrent à moi: je commence à avoir faim, et je ne suis pas au bout de cette soirée. Mon "parrain" est là, c'est en fait un ami à mon grand frère qui me coach dans les soirées, me servant les mêmes verres que lui et surveillant mon bien être intestinal. Atropos en a un aussi, nous sommes en concurrence, et justement je suis l'outsider bien que mon frère soit absent, j'ai une réputation assez vomitive. Surtout que mon parrain est une vrai sacoche, et possède la meilleure descente parmi les amis de mon frère.

Sur ces conseils j'évite de me restaurer à la ratatouille, pas bon à vomir, on fait le choix de pizza. Vous allez me demander où est l'instinct de survie dans tout ça. Patience j'y arrive. Il est maintenant pas loin de 3h du matin, j'ai l'esprit embrouillé, le ventre barbouillé est les poumons enfumés. Et là coup de massue: je dois faire tourner la machine à laver. Cette chose venue tout droit de l'enfer, qui accomplit la tâche obscur de laver la vaisselle, moi, simple mortel, je n'ai jamais su la faire marcher. Et pourtant on parle là d'une chose vitale, sans vaisselle pas de bouffe.

C'est à ce moment précis que surgit l'instinct de survie: une formidable réminiscence m'assaille: j'ai l'impression d'être dans la matrice et l'ont vient de m'envoyer la compétence nécessaire pour faire marcher ce foutu lave vaisselle. Je visualise avec précision chaque étape: Appuyer sur le bouton marche/arrêt, mettre le bon programme, mettre une pastille, fermer, appuyer sur départ. Et là le bruit du lavage démarre, orgasme.

Mission accomplie.

C'est fou les conneries et les sales délires qu'on peut se taper étant bourré et déchiré.

Ça pose toujours un problème de soulever un corps en un seul morceau. Apparemment, la meilleure façon de procéder est de découper le corps en 6 morceaux et de les mettre en tas. Une fois que vous avez vos 6 morceaux il faut vous en défaire rapidement parce que votre maman ne serait peut-être pas contente de les trouver dans le congélateur. Il semble que la meilleure façon soit de nourrir les porcs avec. Il faut les mettre à la diète quelques jours. Pour un porc affamé des morceaux de cadavre c’est du coq au vin pour un poivrot. Vous devez raser la tête de vos victimes et leur arracher les dents. Ce sont les seules choses que les porcs ne digèrent pas. Vous pourriez les récupérer après bien sûr mais vous n’avez pas envi de fouiller dans la merde de cochon je suppose. Ils dévorent les os comme du beurre. Il vous faut au moins 16 porcs pour finir le travail en un seule fois. Aussi je vous conseille de vous méfier des types qui élèvent les porcs parce que ces bestiaux sont capables de venir à bout d’un cadavre de 100kg en moins de 8 minutes, ce qui veut dire qu’un porc peut engloutir, en moyenne, un kilo de viande toute les minutes. D’où l’expression se goinfrer comme un porc.

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